Sale temps pour les brigands

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Des cambriolages en chute libre pour les monte-en-l’air.

Ce n’est plus un métier ! Comment peut-on cambrioler tranquille si les gens sont chez eux ! Et pour peu que l’on se risque à visiter les rares logements désertés, les flics nous tombent dessus en flag ! Effectivement, l’épidémie de vols a été – provisoirement – jugulée, elle. D’autant plus sûrement que les gens aux balcons repèrent tout mouvement suspect chez leurs voisins et appellent le 17.

Heureusement pour les malandrins, les commerces, les restaurants, les bars, tout ce qui a rideau baissé demeurent des cibles « opérables ». Quand une patrouille ne repère pas le petit jeu des effractions, la nuit, dans une rue déserte ! Encore les voleurs sont-ils souvent des buveurs en manque. Les policiers ont même appréhendé le vendredi 10 avril un pilleur… ivre.

Bilan d’après déconfinement
– 81 % dans Paris, – 67 % dans les Hauts-de-Seine, un sursaut en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne, mais rien à voir avec la délinquance ordinaire. En revanche, les bureaux et les entreprises, les hôtels fermés restent les ultimes bons coups à tenter. « Depuis le 17 mars, confirme au Parisien Yvan Assioma, secrétaire national Île-de-France du syndicat de police Alliance, les policiers ont procédé, en plus de leurs missions liées au contrôle des mesures de confinement, à plus de 120 interpellations pour vols par effraction, principalement dans des locaux commerciaux. » Le métier n’est pas si cuit. Une inconnue demeure, le nombre de délits qui seront constatés après coup par des particuliers confinés dans une autre résidence et les entreprises visitées fermées depuis lurette.

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