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Toute la stratégie de lutte contre le coronavirus 2 se limite à la vaccination. Tous les « pontes » de la médecine l’ont seriné à longueur de plateaux télé : hors les vaccins sublimes à l’ARN messager, point de salut. Comme si un virus ne s’éradiquait pas par des médicaments !
Après avoir soigneusement disqualifié le moins cher d’entre eux, l’hydroxychloroquine associé à l’azithromycine, les autorités de santé ont mis un temps fou à reconnaître les travaux entrepris depuis des années par une biotech nantaise, Xenothera, sous la forme d’anticorps nommés XAV-19. Il a fallu la visite à Nantes du Président Macron et, quelques mois plus tard, sa commande de 30 000 premières doses pour que le médicament « miracle », alors en phase de tests, commence à exister.
Or les essais démontrent que les anticorps calibrés Sars-CoV-2 jugulent bel et bien le virus, en phase précoce comme aiguë.
Dans une France où l’Institut Pasteur s’est fait disqualifier, faut-il disqualifier aussi tout ce qui ne relève pas d’une multinationale de la santé ?
Que l’on connaisse ou pas une 4e vague à la rentrée, les magiciens des projections nous « garantissent » une quinzaine de milliers de morts de plus car le virus circule. La présidente de la start-up de Nantes, la docteur Odile Duvaux, se bat depuis plus d’un an pour que le XAV-19 français soit utilisé pour enrayer ces morts évitables. Faudra-t-il que l’opinion publique, enfin informée de l’existence du traitement qui sauve et guérit, pétitionne pour que les pharmacies des hôpitaux soient enfin approvisionnées ?
Trente mille doses commandées par l’Élysée : depuis, black-out sur leur utilisation. La CEO, Odile Duvaux, a d’ores et déjà affirmé qu’elle ne vendrait pas son brevet à l’étranger, comme l’a fait le français Valneva au Royaume-Uni. Encore faut-il que la France lui achète ce médicament 100 % français. Vite.
Olivier Magnan